« Mais c’est plus fort que moi; bien que je ne sois pas dévot, je me sens attiré par les églises, ces fantastiques bâtiments en péril, par les objets, les toiles, sculptures qu’elles contiennent, leur acoustique, les chants sacrés. En plus, aussi ésotérique que ça puisse sembler, je crois en les remous d’humains que ces bâtiments ont pu absorber au fil des décennies, à travers les messes, les confessions, les mariages, les baptêmes et les funérailles. Malgré tout le mal dont s’est rendu coupable le Vatican et plusieurs de ses servantes et servants, je suis partisan du devoir de mémoire envers les femmes et les hommes de bien qui ont servi dans les ordres en faveur de l’éducation, de la santé, pour combattre la misère. »
- Philippe Garon