Le vent souffle. L’air se fait rare. Les bouches d’aération crient par milliers l’urgence de se joindre. Le vent souffle. L’air se fait rare. Les bouches réclament | hurlent dans le brassage quotidien de milliers de bactéries invisibles | l’ombre d’un frisson | un flux disponible. Des myriades de synapses malades | en miettes | coagulent dans les airs. Nuages. Nuages de code pestiféré circulent dans les lignes de machines en boucle.